THE AMAZING WEEK #52 : sans les X-Men, première partie
Critiques de comics V.O. publiés entre le 20 mars et le 10 avril 2024.
Gros rattrapage !
En effet, je n’ai publié aucune critique de comics publiés après le 13 mars. Et, je vous rassure, je suis aussi en retard sur mes lectures. Il est donc temps de faire le tri et de réduire la quantité de comics que je lis par semaine. D’ailleurs, j’évoque ci-dessous quelques comics que j’aurais souhaité lire, mais j’attendrai les albums afin d’en profiter pleinement.
Ainsi, après un très long silence, voici le numéro 52 de The Amazing Week. Ce numéro me rappelle que je n’ai pas souhaité la première année de cette newsletter, mais il me rappelle aussi le plaisir de suivre de manière hebdomadaire la série 52 chez DC, ce qui compense largement ma procrastination.
Tout cela pour dire que cette newsletter continue d’exister, mais que je risque de vous spammer plus que d’habitude dans les prochains jours afin de couvrir toutes mes lectures intéressantes.
J’ai aussi fait le choix de retirer les séries X-MEN du lot, parce que je vais en faire une newsletter à part afin de couvrir les événements qui terminent l’ère de Krakoa. Elle arrive très prochainement, avant que nous découvrions le retour en arrière le relaunch de la licence menée par une nouvelle équipe éditoriale.
Aussi, dans cette newsletter - et dans les deux prochaines -, il n’y a pas de coup de coeur, ni de jolies covers. Ces rubriques reviendront certainement lorsque j’aurai rattrapé mon retard.
Du coup, je vous souhaite une bonne lecture des critiques de comics publiés entre le 20 mars et le 10 avril 2024.
Un et six font de bons comics
Les scénaristes Dan Watters et Ram V ont décidé de créer un diptyque particulier afin de raconter une histoire autour d’un tueur en série vue de deux perspectives différentes. THE ONE HAND, écrit par V et dessiné par le talentueux Laurence Campbell (oui, c’est un homme), et THE SIX FINGERS, écrit par Watter et dessiné par le surdoué Sumit Kumar, ne font qu’un et s’apprécient grandement en lecture périodique vu que les personnages se croisent et que l’histoire de l’une alimente l’autre. Pourtant, j’ai l’impression que les deux histoires peuvent fonctionner de manière complètement indépendante.
THE SIX FINGERS #2 continue de s’intéresser à Johannes Vale et sa mutation qui lui pose problème. Le personnage est approfondi, tout comme l’univers des deux séries. Alors, personnellement, j’adore la plume de Watters qui écrit des dialogues ultra agréables à lire, et qui donne une ambiance un peu punk assez réjouissante à son œuvre [j’en profite pour conseiller ses HOME SICK PILOTS et COFFIN BOUND - NdR]. Kumar est un artiste talentueux, et j’aime beaucoup comment il donne un style assez proche de celui de Sam Kieth aux délires sous psychotropes de Johannes. Accompagné par Lee Loughridge aux couleurs et Aditya Bidikar au lettrage, nous tenons là un épisode vraiment plaisant à lire. Sincèrement, j’adore.
THE ONE HAND #3 explore pleinement l’aspect futuriste de cet univers. Ram V focalise vraiment sur la quête de plus en plus personnelle de l’inspecteur Ari Nasser. Personnellement, cela m’a donné envie de découvrir rapidement THE SIX FINGERS #3 pour faire le lien entre les deux intrigues. Franchement, j’adore le découpage des deux mini-séries et comment elles se répondent. L’ambiance de la série est très réussie, même prise à part. Laurence Campbell y est pour beaucoup, la scène dans la prison est aussi violente que grandiose, l’une de celle qui restera en mémoire.
The Flash, nouvel arc !
Un nouvel arc narratif commence pour THE FLASH, la série de Si Spurrier, avec le numéro 7. Même si l’histoire est la parfaite continuité du précédent chapitre, l’arrivée de Ramon Pérez en tant qu’artiste montre un changement. Alors, certes Mike Deodato a fait un sublime travail, mais son remplaçant assure jouant sur des effets différents, mais tout aussi chouettes.
J’aime beaucoup la série depuis qu’elle a été reprise par Spurrier, il y a une ambition folle mêlant science-fiction, métaphysique, et super-héroïsme comme rarement il a été fait. Peut-être - je dis bien, peut-être - que la série est un peu trop ramassée et que certains concepts auraient pu être développés dans des séries à part. En même temps, Spurrier est maître de sa narration et de son casting, il utilise le large casting pour montrer l’étendu des dégâts, et il peut aussi l’épurer à sa convenance lorsqu’il sera nécessaire de se recentrer sur Wally.
En tout cas, il se passe quelque chose dans ce titre, et j’aime vraiment tout ce qui se passe dedans.
Le tisseur ultime
Voici une autre série qui est plaisante à suivre en ce moment, c’est ULTIMATE SPIDER-MAN.
“Quoi ?!, s’écrient-ils ou elles me lisant ?, il n’a pas arrêté de dire que c’était lourd !...”
Oui, c’est vrai !
“Il parait même qu’il sacrifie un bébé panda roux de colère après chaque lecture tellement qu’il déteste cette série !”
Euh… je vous en prie, c’est complètement faux. D’abord, j’adore les bébés panda roux, et je ne ferais pas de mal à un animal. D’ailleurs, arrêtez de faire du mal aux animaux !
Ensuite, je ne déteste pas ULTIMATE SPIDER-MAN. Bien au contraire ! Mais, l’humour à base de “tu as vu, c’est pas comme la BD originale” en te donnant des gros coups de coude pour te montrer que c’est un clin d’œil, ça me fait soupirer autant que l’écoute du dernier album de Slipknot. Mais, la lecture en vaut la peine, puisque l’histoire de Jonathan Hickman ne se repose pas uniquement sur les wink wink ; le titre a une vraie personnalité qui la démarque de ceux de l’univers Marvel classique. Même si ce troisième épisode prend à contrepied l’histoire originale, le scénariste le fait intelligemment jouant soit avec nos attentes - posant de l’ironie dramatique de manière habile -, soit afin de vraiment nous surprendre en emmenant les aventures de ce Tisseur dans de nouvelles contrées.
Je pense aussi que ma retenue vis-à-vis de ce que je lis est toujours dû à ULTIMATE INVASION, la mini-série ne m’ayant pas du tout emballée. Cette suite est plus intéressante selon mes critères.
D.I.E.U.X.
Par contre, aucune retenue à propos de G.O.D.S., la série en 8 parties de Jonathan Hickman et Valerio Schiti, chaque épisode est une réussite en soi.
J’aime le fait que la série s’amuse avec des rapports d’échelle irréels, les personnages de la série côtoient littéralement des dieux. Pourtant, approcher une de ces divinités est une véritable aventure, et un risque certain. Mais, je trouve encore plus remarquable le fait que Hickman ne tente pas de tout expliquer appuyant encore plus le côté irréel et fantastique de la situation.
Les fans des séries AVENGERS de Hickman noterons que cet épisode se trouve dans la prolongation d’un moment clef de TIME RUNS OUT, même si je trouve dommage que la page de garde nous révèle l’identité de la divinité incriminée.
Ce numéro 6 laisse planer un énorme mystère sur la véritable destinée de Mia, mais c’est intéressant de voir qu’Aiko regrette fortement son geste, jusqu’au point de se mettre en péril. Peut-être que Hickman aurait pu mieux travailler la relation entre les deux afin de faire planer le doute sur la motivation d’Aiko. J’ai trouvé que sa décision était trop mécanique, cela enlève un petit côté émotionnel qui aurait rendu l’épisode plus que parfait.
Parce que, oui, peu importe, j’adore G.O.D.S. et je me laisse conduire sans trop réfléchir à chaque phylactère. En plus, les dessins de Schiti sont merveilleux ; on sent l’artiste appliqué, impliqué, et motivé.
Energon Universe
Le reboot de l’Energon Universe est clairement plus sage, dans le sens où l’univers repris par Robert Kirkman nous emmène exactement là où on veut mais en proposant des perspectives différentes. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas beaucoup de surprises pour autant.
Dans COBRA COMMANDER #3, Cobra doit faire face aux Dreadlocks. C’est violent et sanglant. La malice et la tromperie ont parfaitement leur place. La série apporte en effet ce qu’on attendrait d’une origin story sur Cobra et son armée, mais le chemin est loin d’être balisé.
Même sensation pour DUKE #4 avec de bons retournements de situation, du drame, et une surprise finale à laquelle je ne m’attendais pas (parce que je n’ai pas vu les sollicitations du mois prochain). J’adore ce que je lis !
Bon, mon bilan de VOID RIVALS est moins enthousiasmant. Autant rassurer les fans, le numéro 8 est tout aussi bien que les précédents, avec un bon rythme et des dessins merveilleux. Aussi, j’aime bien comment Robert Kirkman approfondi ses personnages, mais la lecture est simplement plaisante. J’attends de voir un peu la tournure que prendra l’Energon Universe pour voir si je continue à suivre mensuellement ou non.
Côté TRANSFORMERS, il y a du changement ! Un nouvel arc commence avec ce numéro 7, accueillant par la même occasion un nouvel artiste. Et quel artiste ! Jorge Corona reprend la relève de Daniel Warren Johnson, et c’est magnifique de bout en bout. Mike Spicer aux couleurs assure la continuité visuelle, et Corona propose des choses spectaculaires à chaque instant. Ce numéro 7 propose de se poser un peu afin de s’intéresser au passé de Cybertron et à dresser le bilan du premier arc. Les conséquences se font ressentir avec des moments simples d’émotion. C’est une grande réussite !
Bad girls, good stories!!!
Tout comme après la fin du premier chapitre et avant le second, la série LOCAL MAN s’offre un one-shot dont le but est de rendre hommage aux supers d’Image Comics avec un pelletée de caméos. Mais, résumer LOCAL MAN: BAD GIRLS qu’à ça serait bien réducteur.
Tim Seeley et Tony Fleecs sont des grands fans des comics des années 90, il était évident que les super-héroïnes aux gros seins combattant le mal avec des décolletés plongeants et portant simplement des petites culottes allaient avoir une place de choix dans leur histoire. Il était même commun d’appeler ces héroïnes des “Babes” dans les sollicitations et de bien les mettre en avant afin de vendre des couvertures.
Les deux auteurs sont parfaitement conscients du problème de cette représentation ; ils construisent alors une histoire afin de contrebalancer cet esthétisme. Ainsi, ils racontent des histoires de super-héroïnes dramatiques (Neon étant clairement inspirée de Jean Grey des X-Men), tout en faisant des blagues sur les machos et en montrant la violence infligée aux personnages féminins dans les comics.
Le one-shot propose ainsi trois histoires flashbacks autour de Neon afin de construire encore mieux le personnage ainsi que l’univers assez dérangé des super-héros de la série. Tout est très malin et référencé. La première histoire est clairement inspirée de IMAGE UNITED et du crossover d’Extreme Studios, BABE WATCH, dans lequel les super-héros subissaient un genderswap.
Du wokisme avant l’heure !?
Bon, pas vraiment, Rob Liefeld et ses potes avaient donné des poitrines tellement généreuses à leurs super-héros féminisés qu’elles étaient obligées de se cambrer au point de quasiment se briser la colonne vertébrale afin de compenser.
En tout cas, Seeley et Fleecs s’éclatent avec ça avant de nous montrer deux histoires beaucoup plus sombres. L’épisode est encore une fois absolument génial proposant un regard critique pertinent de cette époque, tout en allant caresser la fibre nostalgique du lectorat. Et puis, les dialogues sont toujours aussi merveilleux à lire. J’aime toujours autant !
Des chats !!!
Tony Fleecs (encore lui) retrouve Trish Frostner et Tone Rodriguez, l’équipe artistique de STRAY DOGS, afin de raconter une nouvelle histoire d’animaux qui parlent. Cette fois, il s’agit de chats d’appartement qui vont vivre une histoire de survie avec FERAL.
Autant le dire de suite, celles et ceux qui n’ont pas aimé STRAY DOGS [n’ont pas de cœur] n'apprécieront pas ce premier numéro FERAL. Moi, j’ai pris beaucoup de plaisir… et puis, il y a des chats, donc c’est cool !
Deadpool
Une nouvelle série DEADPOOL démarre avec Cody Ziglar au scénario et Rogê Antônio au dessin. Habituellement, je ne lis pas forcément les séries sur Deadpool, mais j’ai entendu beaucoup de bien sur la série MILES MORALES: SPIDER-MAN écrite par Ziglar, donc je tente de découvrir l’auteur avec ce nouveau titre plutôt que de rattraper mon retard sur la série sur le Tisseur. En plus, il est accompagné de l’excellent Antônio qui nous offre une double-page de folie dans ce numéro.
L’épisode ne révolutionne pas grand-chose. La chose qui m’intriguait le plus - la chienne symbiote qui accompagne le mercenaire - est issue d’une précédente série. Ici, Ziglar présente une nouvelle menace, et fait le lien avec une intrigue de MILES MORALES: SPIDER-MAN. Il s’agit d’une bonne introduction, mais il faudra certainement attendre un peu avant de découvrir la véritable nature de la série.
En vrac
AMAZING SPIDER-MAN #46. La construction sur le long terme est vraiment cool, Zeb Wells profite de ce petit arc magnifiquement dessiné par Carmen Carnero pour continuer à rajouter des problèmes sur le dos de Spider-Man (et Jackpot).
AMAZING SPIDER-MAN #47. Encore une fois, la construction de l’univers par Zeb Wells est cool, mais je lis ce genre d’épisode en mode détente.
BIRDS OF PREY #8. L’épisode est plutôt cool, et le défilé de mode qui devient une énorme scène de bagarre sous les crayons de Javier Pina est merveilleux. Mais, l’épisode gagne en intensité et en intérêt avec l’arrivée de David Lopez aux dessins, comme si Kelly Thompson lui avait gardé le meilleur.
DAWNRUNNER #1. Je n’ai que feuilleté cette BD de Ram V et Evan Cagle. C’est magnifique à regarder. J’attends avec impatience la sortie en album maintenant !
DEVLIN WAUGH: NIGHTCLUBBING Part. 2 (JUDGE DREDD MEGAZINE #466). Avec cette tension folle qui monte au fil de l’épisode, j’ai éclaté de rire sur ce final de toute beauté ! Une réussite signée Ales Kot et Steven Austin.
DUTCH #2. L’épisode se lit sans absolument rien connaître de Dutch. C’est un bon point ! Parce que, oui, l’histoire de Joe Casey est assez chouette, et les dessins de Simon Gane me plaisent beaucoup.
G.I. JOE: A REAL AMERICAN HERO #305. Cet épisode fait la part belle aux Joes qui commençaient à se faire voler la vedette par tous les bad guys de la licence.
GREEN ARROW #10. L’épisode est plutôt cool et rythmé, même si Joshua Williamson commence à taper dans le deep lore de l’univers de Green Arrow.
GREEN LANTERN #10. Les enjeux sont très différents de la première partie. De retour sur Oa, Hal Jordan découvre ce qui se passe au sein des United Planets Lantern Corps, et ce n’est pas joli. Jeremy Adams ramène du beau monde tout en commençant à poser les jalons des prochaines intrigues, et Xermanico nous épate avec ses dessins. Toujours un titre que je recommande !
GRIM #16. Les scènes de flashback sur la vie humaine d’Eddy en Afghanistan sont mortelles. Flaviano semble saga, mais il s’applique pour donner une histoire violente et vibrante.
IF YOU FIND THIS I’M ALREADY DEAD #2. La suite de l’histoire de science-fiction de Matt Kindt et Dan McDaid prend une tournure très inattendue - à ce demander ce que signifie réellement le titre de la mini-série. J’aime beaucoup ce que je lis, et la partie artistique est remarquable.
IMMORTAL THOR #9. Rigolo, au précédent numéro je décrivais l’arc en cours comme étant Thor qui écoute une histoire. Involontairement, j’ai lu dans le petit jeu d’Al Ewing. Thor sous la bannière Roxxon promet d’être assez fun !
INCREDIBLE HULK #10 / INCREDIBLE HULK #11. Le mélange entre horreur et Hulk fonctionne toujours aussi bien. Une de mes lectures préférées chez Marvel en ce moment ! Les planches de Danny Earls sont sublimes.
JOHN CONSTANTINE, HELLBLAZER: DEAD IN AMERICA #3. L’artiste Aaron Campbelle nous fait une grande démonstration de son talent en mélangeant les styles afin de donner un aspect graphique à chaque histoire, surtout que dans ce numéro, il y a des histoires dans les histoires. Les scénarios de Si Spurrier sont complexes, mais l’humour, l’inattendu et la magie captent l’attention tout le long.
ONCE UPON A TIME AT THE END OF THE WORLD #13. Le dernier chapitre de l’histoire de Maceo et Mezzy réutilise parfaitement tous les codes de la série jusque-là. C’est à la fois ludique et valorisant pour le lectorat. J’ai hâte que cela se termine et que je relise tout depuis le début pour mon simple plaisir !
MIGHTY MORPHIN POWER RANGERS #118. DARKEST HOUR s’éternise un peu, mais la scénariste Melissa Flores pense vraiment sa saga comme un roman fleuve avec des rebondissements, et des relations qui évoluent. Clairement, certain.e.s fans vont crier de joie sur une page de ce numéro.
MINOR THREATS: THE FASTEST WAY DOWN #1. Je n’ai pas lu l’épisode, je signale simplement le début de cette mini-série qui est la suite de la première. Patton Oswalt, Jordan Blum et Scott Hepburn s’intéressent à nouveau à Playtime tout en apportant de nouveaux personnages dont une sorte de pastiche des Teen Titans. Je lirai la série en album, album que j’attends avec impatience.
NIGHTWING #112. Nightwing ! Batman ! Un enfant en danger ! Une combinaison bien trop connue ! Mais sous la plume de Tom Taylor, c’est vu sur un angle légèrement différent ce qui rend le tout intéressant. Le scénariste en profite pour forger l’univers DC post-BEAST WORLD.
PHANTOM ROAD #10. Le chapitre 2 se termine dans le plus grand calme, mais l’épisode n’est pas avare en rebondissements. Justement, les événements commencent à converger, et le moment des révélations semble être à la porte.
POISON IVY #21. Fin des origines revisitées de Poison Ivy avec son arrivée à Gotham City et sa rencontre avec Batman. Au bout de 21 épisodes, la série a su conserver tout son charme, belle prouesse de la part de G. Willow Wilson et Marcio Takara.
SCARLET WITCH & QUICKSILVER #2. Voici une mini-série qui dépote ! Steve Orlando trouve un bon moyen pour donner autant d’importance aux deux personnages, le tout mis en page par le très talentueux Lorenzo Tammetta.
SPIDER-WOMAN #6. J’aime toujours autant comment Steve Foxe écrit Jessica Drew. L’utilisation de Spider-Boy (personnage agaçant, non ?) est plutôt rigolote.
THE SACRIFIERS #7. La série de Rick Remender et Max Fiumara démarre son deuxième chapitre. J’avoue ne pas avoir été trop emballé par l’action de l’épisode vu qu’il n’est qu’un épisode de transition, mais les planches de Fiumara et les couleurs de Dave McCaig sont sublimes.
THUNDERCATS #3. La série de Declan Shalvey et Drew Moss est vraiment très sympathique. J’aime comment le scénariste égratigne la petite équipe parfaite du dessin animé, créant des tensions fortes entre les membres. Chaque personnage a son caractère et son importance, et Lion-O est bien travaillé pour le rendre imparfait. Shalvey assume l’essence du dessin animé en ramenant un personnage culte, et Moss donne un aspect très dynamique à l’ensemble.
TITANS #9. L’histoire entre Trigon et Raven prend une nouvelle proportion dès lors qu’Amanda Waller commence à s'immiscer entre les deux. L’intrigue est plutôt réussie grâce au tremplin qu’a été BEAST WORLD.
ULTIMATE X-MEN #2. J’adore ! Peach Momoko prend son temps, mais elle construit une série avec un univers très marqué et des personnages assez cools. Elle revisite complètement le principe des X-Men, mais cela fonctionne à fond !
VENGEANCE OF THE MOON KNIGHT #3. La Midnight Mission continue de tenter de savoir qui est le nouveau Moon Knight. Jed MacKay en profite pour développer le personnage de Soldier.
VENGEANCE OF THE MOON KNIGHT #4. Même commentaire avec Hunter’s Moon au centre, et une révélation (bien trouvée) en fin d’épisode.
Je vous souhaite une incroyable semaine (ou un incroyable mois ?) remplie de bons comics à lire. À bientôt !